Comprendre. Le mot revient sans cesse dans la bouche de David Saint-Jacques. Et s’il faut en croire le principal intéressé, il s’agit de la clé pour cerner cet homme dont le parcours écartelé entre le génie, l’astrophysique et la médecine peut paraître déroutant.
« Ma première obsession, comme enfant, c’était de tout comprendre. C’était une ambition folle, démesurée. Mais j’ai essayé quand même », raconte-t-il à La Presse.