Personne n’échappe à la pollution générée par la lumière artificielle : pas même les télescopes du nord du Chili, région considérée comme le paradis des astronomes, mais dont les cieux risquent de perdre de leur limpidité.
Le désert d’Atacama, à 1200 kilomètres au nord de Santiago, offre pourtant des conditions idéales : le ciel y est dégagé la majeure partie de l’année.